Tous les processus de gravure sur cuir dépendent du revêtement de la fleur du cuir et de sa finesse, qui est tannée sur ces parties qui doivent être gravées ou martelées par une action de frappe des matoirs. La résistance ou la gravure est fait en faisant ramollir l’ensemble du cuir avec de l’eau et un produit spécial cuir repoussé, de la cire liquide, ou de la poix de Bourgogne.
Divers motifs de gravure sont vernis avec des produits de finition ou de la cire d’abeille jaune dissous dans l’essence de l‘huile de pied de boeuf et de façon continue jusqu’à ce qu’il ne reste que les sédiments décantés (tous ces produits poix de Bourgogne, etc… et la cire d’abeille pouvant être fondue ensemble) . La résine peut être soit fondu et puis étalée au pinceau ou avec un chiffon doux de telle sorte qu’en frottant avec la résine celle-ci va fondre et laisser un film mince de protection. Les matoirs dont le poids doit être suffisant pour pénétrer et enlever la première résistance du cuir afin de dessiner le long de la peau le projets, laissant ainsi la main avec plus de liberté pour sculpter librement ou former des lettres selon le cas être.